top of page

 

Dans le chapitre précédent nous avons vu que dix races humaines ont vu le jour, en conséquence d'une isolation géographique. Nous verrons ici que les différences entre les dix races, aussi bien physiques qu'intellectuelles, sont imputables au climat. Tandis qu'ils progressaient vers le nord, les hommes furent confrontés à des températures de plus en plus rudes, produisant un gradient croissant de pression sélective.

Le climat et la seconde période glaciaire (période de Würm)... facteurs majeurs des variations intellectuelles entre les races. 


L'explication des différences raciales dans l'intelligence, aujourd'hui largement acceptée, est que l'homme a évolué à partir de l'Afrique de l'Est équatorial.

Il y a environ 100.000 ans, certains groupes ont émigré vers le nord, en Afrique du Nord, puis en Asie et en Europe. Ces groupes ont rencontré un environnement difficile dans lequel il n'y avait pas de plantes ou d'insectes pour se nourrir toute l'année, de sorte qu'ils ont dû chasser de grands animaux comme les mammouths pour obtenir leur nourriture. Ils ont également eu à se chauffer et donc ils ont dû apprendre à faire des vêtements et des abris. Ces problèmes sont devenus beaucoup plus grand durant la première époque glaciaire qui a commencé il y a environ -28.000 ans et a duré jusqu'il y a environ -11.000 ans. Tous ces défis ont demandé une intelligence plus élevée. Seuls les plus intelligents ont été capables de survivre dans ces environnements difficiles alors que les moins intelligents ont péri. (Pour le détail des processus génétiques, lire le paragraphe Génétique de l'intelligence)

 

Un résultat visible est que la taille du cerveau en Europe et en Asie de l'Est a augmenté pour tenir compte de la plus grande intelligence nécessaire pour surmonter ces problèmes. La pelvis s'est également élargi, pour permettre le passage d'un cerveau devenu plus volumineux à la naissance. Les asiatiques de l'est ont le pelvis le plus large, suivis par les européens. Les africains ont un pelvis plus étroit. Le diamètre antéro-postérieur du pelvis est de 103 mm en moyenne chez les africains, contre 118 mm chez les européens. Pour l'explication détaillée de l'évolution des différences intellectuelles entre les races, lire le chapitre Evolution des différences intellectuelles evolution.html
 

Q.I en Afrique noire 67, Afrique du nord 84, Portugal 95, France 98, Belgique 100, Allemagne 102, Asie 106.
 

Würm température indique la température durant la deuxième ère glaciaire, qui fut le principal catalyseur de l'intelligence (voir chapitre Evolution des différences intellectuelles)
 

Table 16.2. Race differences in winter temperatures (degrees centigrade) and brain site

 

Le cas des esquimaux.

Pour qu’une haute intelligence se soit développée, il a fallu deux paramètres:

-Une pression sélective, le froid.

-Un nombre de population N suffisant pour voir apparaitre des mutations avantageuses suivies par leur sélection par la sélection naturelle.

L'explication est qu’ils ne constituent qu'une toute petite population. A la fin du XXe siècle ils n'étaient qu'environ 56.000 personnes par rapport à environ 1,4 milliard d'Asiatiques. Bien qu'il soit impossible de faire des estimations précises de la taille des populations pendant la glaciation principale, il ne fait aucun doute que les Asiatiques ont été beaucoup plus nombreux que les peuples de l'Arctique. L'effet de la différence de taille de la population aura été que des mutations pour une plus grande intelligence avaient beaucoup moins de chance d’apparaitre chez les eskimos. Pourtant, il est intéressant de constater que les eskimos ont la plus grosse capacité cranienne, pointant des processus évolutifs à l'oeuvre. 

La période de Würm ou période de glaciation principale exerça la plus importante pression de sélection. Les températures en Eurasie tombèrent nettement en dessous de 0, transformant le continent en une zone proche de l'arctique actuellement. En Asie de l'est, le froid fut tel que les asiatiques acquirent une couche de graisse sous-cutanée, qui leur donne cet aspect jaunâtre. Leurs yeux s'hybridèrent pour minimiser l'aveuglement du soleil qui se reflétait sur les étendues gelées. Les européens et les asiatiques de l'est ont également de plus petits bras et des jambes plus courtes en rapport au tronc -en comparaison des africains-, ceci étant une adaptation au froid.

Il y eu également une évolution du système nerveux central avec augmentation de se taille moyenne en Eurasie et conséquemment un plus haut Q.I. 

Q.I moyen national en fonction de la température moyenne

Montesquieu est le premier à notifier ce phénomène dans "L'esprit des lois -théorie des climats-"

bottom of page